En validant théoriquement un projet immobilier par le biais de simulateurs en ligne, un particulier est en mesure d’initier la recherche d’un plan de financement pour contribuer à la viabilité de celui-ci. Une personne néophyte éprouvera des difficultés lors de la phase de prospection et peut se baser principalement sur un crédit immobilier en tant que budget majoritaire. Il est alors recommandé de recourir aux services d’un courtier en prêt immobilier dans le but d’assister le particulier lors de la recherche de financement.
Le courtier : viabiliser et optimiser le projet de financement
En contactant un courtier crédit immobilier, celui-ci déterminera la viabilité du plan de financement et proposera au client une version plus aboutie de son projet après les résultats de la simulation en ligne. Il sera tout aussi en mesure d’éliminer les potentiels biais à l’exemple d’un taux d’endettement relativement élevé (> 40%) et fournir une alternative efficace prévenant l’invalidité du projet.
Un courtier ayant accès à des données plus approfondies au sujet du demandeur est capable d’orienter ce dernier vers un partenaire financier idéal et joue également le rôle d’intermédiaire pour le regroupement de crédits et le rachat de crédits. Enfin, il peut toutefois appliquer des taux préférentiels selon les partenaires et favoriser le financement en associant son savoir-faire avec son réseau de partenaire. Rendez-vous sur kg-credit.fr pour obtenir des informations complémentaires concernant les missions du courtier.
Les étapes de l’accompagnement
Le premier rendez-vous avec un courtier se résume généralement par la collecte d’informations sur l’éventuel emprunteur, le projet immobilier et tiendra compte de la situation familiale ainsi que professionnelle du particulier. À la fin de l’entretien, le courtier immobilier demandera au client un ensemble de documents justificatifs afin de constituer le dossier et une fois ce dernier complété, il pourra entamer les démarches de négociations auprès des établissements bancaires. Il faut noter qu’un mandat signé par l’emprunteur indiquant les parties impliquées avec le montant du prêt souhaité peut en plus être exigé par le courtier.
Les offres de crédits retenues permettront au courtier de convier le particulier à un second rendez-vous où il présentera les choix possibles. Chaque banque propose toutefois des modalités avec des taux d’intérêts différents mais le choix revient principalement au client. Le courtier accompagnera ensuite l’emprunteur lors de la signature du prêt et réalisera une vérification finale de l’offre de prêt modifiée à la banque. Il peut cependant intervenir dans une situation éventuelle de succession ou de séparation amenant à un rachat de soulte, et son rôle s’achève enfin à la signature de l’acte de vente au niveau du notaire.
Les tarifs d’un courtier
D’après l’article L 519-1 du Code Monétaire et Financier, un courtier dispose de 2 options pour se rémunérer. Il peut, dans un premier cas, se considérer comme un apporteur d’affaires vis-à-vis des organismes bancaires, et en tant que tel, l’agent recevra une commission pour chaque accord de prêt. Le pourcentage de 1% est prélevé à partir du montant de financement mais la valeur de ce taux peut, par ailleurs, grimper excessivement surtout pour un prêt qui inclut le rachat de crédit conso causant au passage une somme d’emprunt plus importante. Il faut néanmoins remarquer que la convention établie et signée par l’intégralité des parties définit le coût de la commission, ce qui correspond aux dépenses non couvertes par la banque (frais de commercialisation et de distribution).
La deuxième option se caractérise par la prise en charge du rôle de conseiller au sein d’une entreprise, dans ce cas, sa rémunération sera directement influencée par ses résultats. Les frais d’analyse de dossier, financier et dédiés aux mandats de recherche sont facturés au nom du client et le pourcentage de rémunération correspond à un taux de 1% à 2% du montant du prêt.