Pour assurer l’avenir de vos enfants ou petits-enfants, il faut le plus souvent s’y prendre très tôt. En effet, la fiscalité incite les parents à franchir le pas le plus vite possible pour léguer un capital financier. Pour réussir la transaction, il faut pour cela bien choisir son mode de gestion financière et connaître quelque peu la fiscalité française en matière de donation.
Pour assurer l’avenir de vos enfants ou petits-enfants, il faut le plus souvent s’y prendre très tôt. En effet, la fiscalité incite les parents à franchir le pas le plus vite possible pour léguer un capital financier. Pour réussir la transaction, il faut pour cela bien choisir son mode de gestion financière et connaître quelque peu la fiscalité française en matière de donation. Exemple : Des parents veulent léguer un capital financier à leur enfant.
La fiscalité incite à transmettre rapidement, grâce à des abattements fiscaux élevés des sommes importantes : Ainsi, chaque parent peut jusquà 156 300 euros à chaque enfant tous les 6 ans sans aucuns droits de succession et 31 272 euros à chaque petits-enfants.
Pour assurer que ces sommes ne vont pas être dilapidées, les parents peuvent ouvrir un compte épargne classique pour leur propre compte et prévoir que ces sommes seront transmises, après leur décès, à leur enfants ou petits-enfants ou ouvrir une assurance vie. La dernière solution est de faire une donation au moment où les enfants auront besoin. Cette donation peut être accompagnée dun pacte adjoint si les donataires sont jeunes.
Il permet de prévoir que les capitaux seront réinvestis dans un placement déterminé (assurance vie, compte épargne ) et que les fonds y resteront bloqués jusqu’à un âge déterminé à lavance, par exemple 25 ans pour éviter la dilapidation de l’argent. L’assurance vie est sans doute la meilleure solution car il existe des contrats spécifiques aux donations inter générations, dans lequel un pacte adjoint soit rattaché. Dans tous les cas, il faut éviter les placements hasardeux en action ou sur des fonds spéculatifs.